oui, plusieurs :
le sacre du printemps de Maurice Béjart quand j'étais enfant, c'était si magique, si prenant, si dérangeant à l'époque, ces pointes cassées, ces danseurs qui vous tournent le dos...
un ballet de Carolyn Carlson dans la cour du palais des papes, il y a quelques années avec le mistral qui s'en mêlait et la chorégraphie qui l'avait pris en compte,
May be de Maguy Marin qui a fait surgir des émotions inconnues,
les asymétries de Philippe Découflé,
les gestes tout spéciaux de Dominique Boivin,
le nihilisme et l'absurde de Jérôme Bel...
et tant d'autres !